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Test Amaran 200X S

Il y a un an, j’ai investi dans ma première lumière artificielle pour commencer à apprendre l’art de la cinématographie. Aujourd’hui, après avoir consacré beaucoup de temps à comprendre la science des couleurs et l’éclairage, je me sens enfin confiant dans la création d’images naturalistes.

Tout ce parcours d’apprentissage a été motivé par mon insatisfaction envers la reproduction des couleurs des LED, pensant au départ que l’erreur venait de ma part. Cependant, la sortie de l’Amaran 200X S a complètement changé cette perspective.

La marque Amaran

Amaran est l’écosystème abordable au sein de la famille Aputure, offrant des solutions d’éclairage de haute qualité adaptées aux créateurs de contenu, cinéastes et photographes recherchant des résultats professionnels sans se ruiner.

Conçu pour compléter la gamme haut de gamme d’Aputure, Amaran se concentre sur la fourniture de lumières LED fiables, polyvalentes et précises en couleur à un prix accessible.

Que vous soyez un débutant ou un professionnel chevronné, Amaran propose une large gamme d’outils, y compris des options portables compactes et des projecteurs bi-couleur et RGB avancés, tous conçus pour stimuler la créativité et la narration visuelle tout en respectant votre budget.

L’avènement des lumières LED

Les lumières LED ont rapidement remplacé les ampoules à tungstène dans les foyers grâce à leurs avantages pratiques, notamment une efficacité jusqu’à 10 fois supérieure. Avec l’introduction de la LED bleue par le lauréat du prix Nobel Shuji Nakamura, les LED ont également acquis la capacité de produire de la lumière blanche, consolidant ainsi leur domination dans l’éclairage moderne.

Pourquoi les lumières LED semblent-elles artificielles ?

La plupart des LED blanches sont basées sur des diodes émettant une lumière bleue recouvertes d’une couche de phosphore qui convertit une partie de cette lumière bleue en d’autres couleurs, créant ainsi un spectre qui apparaît blanc à l’œil humain.

Cependant, le fait que cette lumière semble blanche à nos yeux ne garantit pas une répartition homogène des couleurs et de leur saturation dans un environnement réfléchissant. Un spectre déséquilibré produit souvent des couleurs artificielles facilement perceptibles par l’œil humain et le cerveau.

Fondamentalement, la lumière naturelle organique est associée à la lumière du soleil, tandis que les ampoules tungstène, également connues sous le nom de lampes incandescentes, sont devenues l’équivalent artificiel.

Chaque source lumineuse a son propre rendu distinct. Bien que les LED puissent imiter efficacement la lumière tungstène, elles rencontrent des difficultés avec la lumière du jour. Pour y parvenir, les LED doivent souvent compenser les tons bleus, ce qui entraîne un pic important dans le spectre bleu.

Les capteurs des caméras et les processeurs analysent ces spectres pour déterminer comment convertir les couleurs afin de fournir une représentation adaptée à la perception humaine. Cela s’explique par le fait que la vision humaine fonctionne différemment de celle des autres animaux ou des capteurs de caméra. Étant donné que la lumière tungstène et la lumière du jour sont essentiellement identiques partout dans le monde, cette conversion devient plus simple.

Avec les LED, il existe une variation significative entre les fabricants, ce qui accentue les incohérences. Ces deux raisons expliquent pourquoi les lumières HMI et tungstène continuent d’être utilisées dans l’industrie cinématographique, même après plus de 30 ans.

Qu’est-ce qui rend la série S si spéciale ?

La série S introduit essentiellement la nouvelle technologie des LED indigo, qui sert à combler le vide dans la section proche de l’ultraviolet du spectre.

Bien que théoriquement les lumières proches de l’UV et UV ne soient pas visibles à l’œil humain, en réalité, elles ont un impact sur la nature réfléchissante des objets, notamment ceux qui sont fluorescents.

Par exemple, les détergents à lessive utilisent ces composés fluorescents pour aider à garder vos vêtements blancs. Pour les mêmes raisons, les dents, les ongles, les yeux et la peau émettent une fluorescence sous une lumière indigo. Cependant, ce spectre proche de l’UV ajoute également ce « je ne sais quoi », comme dirait Tim Kang, l’un des principaux scientifiques des couleurs chez Aputure et l’esprit derrière le 1200X.

Ce qui me frappe le plus dans cette innovation, c’est sa capacité à produire des tons de peau plus naturels, grâce à la fluorescence réfléchissante de la peau, ainsi qu’une précision des couleurs nettement améliorée, notamment dans les blancs. Cela aboutit à un spectre suffisamment précis pour reproduire la lumière du jour sans paraître trop artificiel. Les lumières tungstènes ou chaudes, autour de 3200 Kelvin, bénéficient également de cette technologie, bien que les améliorations soient plus subtiles.

Comment mesurer cette précision des couleurs ?

C’est probablement le sujet le plus complexe de cet article. Essentiellement, les lumières ont de nombreuses métriques, telles que le CRI, le TLCI et le TM30, qui peuvent vous aider à déterminer si un LED est de mauvaise qualité, mais elles ne peuvent pas vous dire si la qualité de la lumière est vraiment excellente. Ces métriques évaluent principalement le degré de variation et de saturation des couleurs.

C’est pourquoi l’Académie des arts et des sciences du cinéma, oui, le comité des Oscars, a développé une métrique qui contourne l’observation subjective en comparant directement le spectre à celui de la réalité, c’est-à-dire du tungstène et de la lumière du jour. Cette métrique s’appelle l’Indice de Similarité Spectrale (SSI).

C’est essentiellement une métrique qui vous aide à évaluer dans quelle mesure le spectre de la lumière correspond à celui de la lumière du jour et du tungstène.

Comparing the SSI of different lights & technology

Amaran 200d on the left and Amaran 200X S on the right

Si l’Indice de Similarité Spectrale est un bon outil pour déterminer si une lumière correspond à une autre, en revanche, il ne vous dira pas à quel endroit du spectre se trouvent les lacunes et erreurs.

Par exemple, une lumière qui inclut des longueurs d’onde UV et proche-UV, obtiendra naturellement un score SSI plus élevé, même si le reste de son spectre, en particulier la partie visible par l’humain, n’est pas particulièrement bien équilibré. Gardez cela à l’esprit lors de l’examen de ces scores.

Types de lumières Modèles Métrique Score
Lumières de référence Daylight SSI D56 100
Tungsten SSI P32 100
HMI Arri M18 SSI D56 95
Nanlite Forza 500B II SSI P32 84
SSI D56 74
Forza 60B II SSI P32 81
SSI D56 71
Pavotube II 15X SSI P32 85
SSI D56 75
Aputure 600D Pro SSI D56 72
LEDs with custom technology Anglerfish SL1 400BNS SSI D55 84
SSI D27 91
Arri Orbiter SSI P32 87
SSI D56 82
ZOLAR Vega 80C SSI P32 90
SSI D56 90
New LEDs with Indigo Amaran 200X S SSI P32 90
SSI D56 89
Aputure 1200X SSI P32 87
SSI D56 87

L’Amaran 200X S

À mon avis, l’Amaran 200X S sert de terrain d’essai pour Aputure afin d’introduire leur nouvelle technologie de LED indigo dans leur gamme économique, leur permettant ainsi de recueillir des retours avant de l’intégrer dans la gamme haut de gamme d’Aputure.

C’est pourquoi il est un peu étrange que cette lumière ait de meilleures performances et une meilleure reproduction des couleurs que l’Aputure 1200D ou même le XT26, par exemple.

Les caractéristiques

  • LED Bi-couleur de 2700K à 6500K
  • 200 Watts
  • Première LED avec la technologie indigo
  • SSI D56 : 89
  • SSI P32 : 91
  • Dimming avec des incréments de 1%
  • Connectivité Bluetooth pour le contrôle Sidus Link via téléphone
  • 9 effets lumineux via Sidus Link

Dans l’ensemble, l’Amaran 200X S offre les caractéristiques essentielles que l’on attend d’une lumière dans sa gamme de prix. Son réglage de l’intensité à faibles niveaux est même meilleur que celui de l’Aputure 600D Pro, et personnellement, je préfère avoir de meilleures capacités de gradation à faible intensité plutôt que des incréments granuleux de 0,1%.

Ce que j’apprécie vraiment, c’est que, malgré son prix abordable—vendu à moins de 269 dollars en promotion sur BH Photo—cette lumière offre toujours une connectivité Bluetooth pour un contrôle à distance via l’application Sidus Link.

Bien que la lumière ne soit pas dotée de fonctionnalités spectaculaires, étant donné qu’il s’agit d’un modèle d’entrée de gamme, il aurait été agréable de pouvoir contrôler les effets lumineux directement via les commandes physiques.

À mon avis, la caractéristique principale est le score SSI, qui montre une amélioration significative de la reproduction des couleurs en lumière du jour.

La qualité de fabrication

Naturellement, la qualité ne sera pas comparable à celle des derniers produits haut de gamme d’Aputure, qui sont couramment utilisés dans les maisons de location professionnelles.

Il s’agit d’un appareil léger principalement fabriqué en plastique, ce qui, en tant que freelance, ne me dérange pas personnellement. Après tout, les Glocks sont faits de polycarbonate, et cette lumière présente un renfort métallique dans les zones critiques.

La seule zone qui pourrait bénéficier d’être en métal est la monture Bowens, car cette partie subit généralement beaucoup de stress. Je heurte souvent mes boîtes à lumière, mais jusqu’à présent, la monture en plastique a bien résisté.

En résumé, je n’utiliserais rien de plus grand qu’une softbox de 90 cm avec cette lumière, ce qui est quelque peu décevant étant donné qu’elle a une puissance similaire à celle de l’Aputure 300d Mk II en termes de sortie.

La lumière dispose d’une monture pour parapluie, ce qui est un excellent ajout. Les parapluies plus grands sont généralement plus légers que les boîtes à lumière tout en offrant des résultats similaires. Sinon, vous pouvez toujours utiliser des cadres Skylite Rapid ou des tissus de diffusion pour adoucir la lumière.

La conception de la puce LED ne présente pas de motif en damier ni de schéma spécialisé optimisé pour les projecteurs ou les gobos. Il utilise plutôt une disposition simple, mais étant donné le prix et la reproduction des couleurs exceptionnelle, il est difficile de se plaindre.

Que contient la boîte ?

L’éclairage est livré avec l’essentiel : un cordon d’alimentation, un adaptateur secteur, un réflecteur standard en forme de bol et un couvercle en plastique pour protéger la puce lorsqu’il n’est pas utilisé. Cependant, j’aurais souhaité qu’il inclut une housse, en tissu ou même en polystyrène, pour plus de commodité et de protection.

Comme d’habitude, le couvercle est soit rouge, soit marqué de stickers rouges pour s’assurer que vous ne l’oubliez pas et ne risquiez pas qu’il fonde.

Cet éclairage dispose d’un ballast optionnel acceptant des batteries V-mount, qui n’est pas inclus. Cela signifie que vous devrez brancher l’éclairage sur une prise murale.

Les performances

White light coming out of the Amaran 200X S

Fait intéressant, bien que cette lumière ajoute principalement plus de lumière dans le spectre proche-UV et qu’elle devrait théoriquement être assez similaire aux autres lumières Aputure à l’exception de cette région spécifique, l’impact est étonnamment significatif.

Le bol réflecteur semble différent de celui utilisé avec l’Aputure 600D, comportant moins de petits motifs rectangulaires à l’intérieur. Ces formes sont probablement conçues pour améliorer la réflexion et la diffusion de la lumière à l’intérieur du bol.

Amaran 200X S @6500K comparé à un jour nuageux avec une température plus froide

La caractéristique la plus frappante dès la sortie de la boîte est la couleur de la lumière, qui, pour une raison quelconque, semble plus naturelle que celle des LED standard à lumière du jour ou bi-couleur. Cette différence est facilement perceptible à l’œil nu, notamment sur les surfaces de couleur claire. À 5600 Kelvin, par exemple, elle ne présente pas l’apparence jaunâtre et artificielle souvent associée à l’éclairage électronique.

Bien que ce ne soit pas une correspondance parfaite, et que l’on puisse encore détecter une légère teinte plus jaunâtre, cela représente une amélioration significative par rapport aux anciennes générations de puces LED.

Les différentes puces colorées en action

Avec les anciennes générations de LED, beaucoup de travail en post-production était nécessaire juste pour rendre les couleurs présentables. Le pic bleu causait souvent une teinte jaunâtre ou brunâtre sur les tons de peau.

En utilisant le Nanlite Pavotube II 15X comme lumière principale, le Nanlite Forza 500B II comme lumière de remplissage, et le Nanlite Forza 60B II comme lumière de contre.

Pour éliminer cette dominante, il fallait ajuster les autres couleurs de l’image pour les rendre légèrement plus froides qu’elles ne le sont réellement. C’était une solution astucieuse, surtout pour les travaux narratifs, et pour être honnête, cela se rapprochait déjà assez du tungstène, avec un SSI de 85 pour la lumière principale.

LED Nanlite ajustées manuellement pour produire du blanc dans Photoshop.

La différence entre une lumière halogène classique au tungstène et celle-ci est à peine perceptible après la balance des blancs, surtout lorsqu’elle rebondit sur un mur. Le contraste et la douceur de la transition sont peut-être les seules améliorations notables, rendant l’éclairage globalement plus agréable.

Deux véritables lumières tungstène pour comparaison

Bien que les lumières LED et tungstène offrent toutes deux une bonne reproduction des couleurs dans l’ensemble, aucune d’entre elles, à mon avis, ne ressemble vraiment à la lumière du jour, même après avoir ajusté la balance des blancs en post-production. Cela peut être dû aux différences dans leurs spectres, notamment l’accent mis sur les rouges, ce qui rend les tons de peau magnifiques.

Premier test avec l’Amaran 200X S à 5600K en rebondissant sur le mur

D’autre part, l’Amaran 200X S à 5600K est vraiment impressionnant dans sa capacité à reproduire l’ambiance de la lumière du jour. Honnêtement, si je regardais l’image, je croirais facilement qu’elle a été prise sous le soleil par une journée nuageuse.

Deuxième test avec l’Amaran 200X S à 3200K avec la balance des blancs ajustée dans Photoshop

La partie la plus impressionnante est que même en photographiant à 3200K et en ajustant la balance des blancs dans Photoshop, la lumière reproduit toujours de manière convaincante la lumière du jour. Ajuster la température de couleur dans Photoshop donne une sensation totalement différente.

C’est très similaire à l’ajustement de la balance des blancs d’un fichier brut d’un appareil photo Canon. La science des couleurs est tellement précise que, peu importe où vous réglez la balance des blancs, les couleurs restent réalistes à travers différentes températures. En revanche, avec un appareil photo Nikon, il est beaucoup plus difficile de trouver un point d’équilibre où les tons de peau semblent naturels et non excessivement étranges en termes de couleur.

Ce ne sont pas seulement les couleurs qui semblent réalistes, mais aussi la manière dont la lumière se reflète sur la peau, lui donnant une sensation plus organique plutôt qu’un aspect artificiel et électronique. Pour mettre cela en perspective, cela ressemble davantage à être devant une fenêtre qu’à être sous une lumière de studio.

Les LED indigos sont elles dangereuses ?

Les rayons ultraviolets (UV) sont généralement classés en trois catégories en fonction de leur longueur d’onde :

1. UVA (315-400 nm) : Ces rayons pénètrent profondément dans la peau et peuvent causer un vieillissement prématuré, des dommages à l’ADN et un risque accru de cancer de la peau sur le long terme. Ils sont les moins nocifs des UV, mais leur exposition prolongée reste dangereuse.

2. UVB (280-315 nm) : Ces rayons sont plus énergétiques et responsables des coups de soleil. Ils sont particulièrement dangereux pour la peau, augmentant considérablement le risque de cancer de la peau et de dommages oculaires.

3. UVC (100-280 nm) : Ce sont les UV les plus énergétiques et les plus dangereux. Heureusement, la couche d’ozone bloque presque tous les rayons UVC naturels avant qu’ils n’atteignent la surface de la Terre. Toutefois, des sources artificielles (comme les lampes germicides) peuvent émettre des UVC.

Les UV nocifs commencent généralement à partir de 400 nm et deviennent plus dangereux à mesure que la longueur d’onde diminue, en particulier pour les UVB et les UVC. Techniquement, la LED indigo de l’Amaran 200X S émet des longueurs d’onde à partir de 400 nm, donc elle devrait être sans danger.

Devrais-je remplacer mes lampes LED conventionnelles ?

Lumières Nanlux utilisé en complément sur le tournage de Dior Holiday : The Ball of Dreams

Cette technologie avancée, avec sa meilleure précision des couleurs, son SSI et sa reproduction de la lumière du jour, est susceptible de devenir une norme pour la plupart des LED Aputure et de leurs concurrents—à moins, bien sûr, qu’un brevet ne vienne limiter son adoption. Cela dit, je doute qu’une seule entreprise puisse détenir un brevet exclusif sur la technologie indigo.

Progressivement, si vous souhaitez obtenir ce rendu naturaliste sur l’ensemble de votre cadre, il vous faudra mettre à jour votre matériel. Pour l’instant, je pense que les LED conventionnelles, en particulier les modèles bi-color dotés d’un SSI P32 solide, conservent leur utilité, même dans des productions plus importantes.

Par exemple, je prévois d’utiliser cette lumière principalement comme key light pour éclairer les sujets et améliorer les tons de peau, en la plaçant très près des talents. Selon moi, les autres lumières et les autres parties du cadre n’ont pas besoin du même niveau de précision colorimétrique, tout comme les détails d’éclairage sont moins cruciaux dans les plans larges.

Il est également important de noter que des directeurs de la photographie et des coloristes talentueux peuvent rendre presque n’importe quelle image impressionnante, bien que cela puisse demander plus de travail et compromettre légèrement l’aspect naturaliste.

Verdict

9.0 sur 10

Cette lumière LED est exactement ce que je recherchais depuis le jour où j’ai acheté ma première LED il y a un an. J’ai passé une année entière à me demander pourquoi je n’arrivais pas à produire des couleurs naturelles et de qualité en tant que lumière du jour.

Cela a été une véritable expérience d’apprentissage, car j’ai essayé presque toutes les techniques pour rendre l’éclairage aussi naturel que possible — diffusion, double diffusion, rebond de la lumière sur des murs et des surfaces, éclairage de livre, éclairage en cove — chaque fois avec des résultats corrects, mais cela demandait toujours beaucoup d’effort.

Les images semblaient toujours correctes à 3200K, mais très artificielles à 5600K. C’était exactement ce que les données SSI indiquaient.

Je ne regrette pas le temps passé, car cela m’a permis d’explorer en profondeur la science des couleurs à travers ce défi. Maintenant, je comprends simplement que les spectres lumineux différents apparaîtront également de manière différentes pour l’œil humain — c’est aussi simple que cela.

C’est pourquoi la lumière du jour et les flashes restent bien supérieurs à n’importe quelle LED disponible sur le marché aujourd’hui, bien que l’Amaran 200X S et les concurrents ayant un SSI au alentour de 90 représentent une avancée majeure.

Informations

Amaran 200X S

Site Internet : https://aputure.com

Page produit officielle : https://aputure.com/products/amaran-200x-s

Agence de production audiovisuelle : https://www.neonnight.fr

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Written by dudeoi

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